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Le Piège aux sorciers

CATEGORIE EDITEUR, "COLLECTION" ILLUSTRATEUR PARUTION ISBN
Roman jeunesse, poche Degliame, "Le Cadran bleu" n°27

Philippe Caza

2002, mai

2-914088-26-4


Le livre :

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Quel rapport y a-t-il entre un centaure zébré, des squelettes ambulants, l’arbre ouak-ouak, des gargouilles volantes, et une multitude de sorciers ? Réponse : une forêt ensorcelée dans laquelle Alaet, le fameux voleur de Karnab, s’est imprudemment aventuré… Pour échapper à Aïchane, l’apprentie sorcière, et s’évader du piège aux sorciers, il devra trouver le moyen d’anéantir le sortilège qui le maintient prisonnier de la forêt… au risque de périr, lui et ses amis !


La première page :

squelet - par Caza

S’il avait regardé le sol avec plus d’attention, Alaet aurait distingué une ligne irrégulière tracée en travers du chemin. Et quand ses pieds la foulèrent, les caractères qui la constituaient s’écartèrent, pour reprendre aussitôt leur agencement initial.
 

l'apprentie-sorcière - par Caza

Mais Alaet était trop harassé pour remarquer quoi que ce soit. C’est à peine s’il avait noté le rabougrissement graduel de la végétation et la raréfaction des animaux. La forêt sombre dans laquelle il cheminait depuis une semaine ne semblait pas avoir de fin.
Il se laissa tomber sur une souche, dont les racines s’enfonçaient dans les cailloux moussus qui bordaient le chemin. Le pommeau en bois de son couteau lui raclait le flanc, aussi le changea-t-il de position. Puis il releva son pantalon, qui avait la même couleur que les feuilles des arbres, et massa ses mollets.



Le mot de l'auteur :
 

L'arbre ouak-ouak n'est pas l'une de mes inventions. Je l'ai empruntée à la légende perse des arbres wak-wak, ramenée par les marins arabes du Moyen Age. Il s'agissait à l'origine d'un arbre merveilleux dont les fruits poussaient un cri d'agonie, "wak-wak". Dans Le Piège aux sorciers, l'arbre magique est corrompu par un sortilège qui le rend mauvais; ses fruits mordent tout ce qui passe à sa portée. L'idée d'un arbre dont ce sont les fruits qui vous mordent, et non l'inverse, m'a bien plu... ;-)


Critiques et liens :
 

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Page sur livre sur cadranbleu.com
Critique dans Asphodale n°1


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